Qu’un mauvais accord soit une très mauvaise idée, c’est déjà passé à la postérité. Dix autres raisons doivent être révélées à ceux qui seraient tentés par le recours à une médiation professionnelle. Autant de raisons qui risqueraient de compromettre vos attentes, souhaits et stratégies. Surtout, pas de médiation professionnelle si vous ne voulez rien perdre de votre dynamique conflictuelle. Il n’en faut pas dans tous les cas suivants :
- Vouloir que son conflit dure longtemps
- Se contenter de passer de mauvaises nuits, englué dans son stress
- Considérer que sa vie est mieux lorsque le dialogue est rompu dans l’adversité, en répétant que la faute est dans l’autre camp
- S’enfoncer dans une amnésie concernant les plaisirs de l’existence
- Chercher à entretenir la méfiance et la colère avec leurs relents et leurs aigreurs
- Abandonner son libre arbitre devenu illusoire pour se satisfaire de l’hypothèse d’une décision contraignante
- Repasser le même disque rayé sur les pseudo-nouveautés de son perpétuel litige
- Vouloir entretenir en soi la peur et la frustration
- Augmenter son budget avocats et système judiciaire, en alimentant la table des experts et des huissiers
- Baigner dans le jus de ses plaintes, justifications et récriminations.
Faut-il en rajouter pour mieux convaincre ?
