Trois années d’exercice déjà pour la mission confiée à Frédéric Lauze d’assurer un rôle de médiateur au sein de la police nationale. Depuis son installation, il s’est entouré de délégués qui savent désormais se positionner au regard d’une administration dont le premier besoin apparaît être la cohésion interne.
On se souvient aussi qu’en 2013, il a reçu une marque de confiance, un Espoir de la médiation, lors du Symposium de la médiation professionnelle.
Dans son rapport qu’il souligne comme celui d’une équipe, Frédéric Lauze indique que « Renforcer la cohésion interne, c’est poursuivre les réflexions engagées sur la résolution des conflits au travail » ; c’est aussi savoir prendre en considération ce qui motive les personnes et le développement des rapports de « confiance et l’adhésion à une éthique de la part des personnels ».
Le médiateur de la police nationale insiste sur le constat que « Le recours à la voie contentieuse, bien trop fréquent, est le constat d’un échec et ne permet en rien de régler les difficultés soulevées dans le cadre des conflits au travail entre les personnels et leur hiérarchie ou l’administration. »
Il rend hommage à William Bigot, décédé cette année tandis qu’il venait d’exprimer sa forte implication dans sa fonction de délégué du médiateur de la police nationale.
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