Vous savez ce que c’est qu’une décision ? Ca ne vaut pas quand on la prend, ça ne vaut que quand elle est actée. (version vidéo / audio)

Sur le Monopoly de la vie, j’ai coché un grand nombre de cases. Je sais ce que c’est que l’exclusion, la discrimination, l’affrontement, la résistance, l’adhésion, la rigueur, l’engagement, les conflits, et aussi la résolution des conflits. J’ai accompli ce que je n’aurais pas imaginé : j’ai créé une nouvelle profession, avec un ensemble d’organisations, la profession de médiateur. Sur ce sujet, j’ai écrit plusieurs ouvrages, développé de nombreuses formations, initié beaucoup de dispositifs. Et je vais vous dire une chose importante. Si jamais vous suivez mon propos jusqu’au bout, et que nous partageons globalement le même point de vue, nous allons pouvoir faire du chemin ensemble.

J’ai pris une décision qui va changer ma vie. Depuis un an, j’observe l’inaptitude de l’équipe gouvernementale à accomplir la mission qui a été confiée à Emmanuel Macron, par dépit face à la montée du nationalisme fasciste, un modèle de management qui a bien inspiré les Etats-Unis et les écoles d’où sortent ceux qui, de nos jours, s’échangent les postes de la gouvernance en France et dans le monde.

Je vous invite donc sur cette voie quelque peu difficile de réflexion et de décision.

La situation sanitaire réelle actuelle n’a rien à voir avec la situation politique créée.

On nous avait affirmé que les caisses de l’état étaient si vides qu’il fallait solder à la spéculation privée toutes les structures de solidarité héritées de nos anciens. Nos impôts ne suffisaient pas à réjouir les gestionnaires. Les taxes payées par l’ensemble de la population ne compensaient jamais l’évasion fiscale organisée par les plus riches d’entre nous. Les pires violences policières ont mutilé des enfants de notre nation. Certains, scandalisés d’être houspillés, ont été tabassés, étranglés et même tués sur des trottoirs.

Des usurpations de fonction et des actes criminels ont été ostensiblement protégées par le premier magistrat de France.

Maintenant, nous vivons tous dans des conditions de suspicion de délinquance. Chaque citoyen est susceptible d’être arrêté, vilipendé, amendé, voire violenté pour irrespect de règles de soumission et d’allégeance consistant à la mise à l’écart des autres. Depuis douze longs mois, les relations humaines fondamentales sont empêchées et même criminalisées.

Au prétexte d’un virus dont les médias traditionnels ont fait leur cœur d’actualité scénarisée, nous vivons une vie de restriction de nos libertés. L’état policier qu’avait amorcé Giscard d’Estaing en 1974 est remis en place. Des lois sont votées à la sauvette. Des décisions sont prises par des comités restreints piétinant toutes formes, même illusoires, de démocratie. Il n’y a plus de débat aux parlements sur les aspects essentiels de la vie sociale, économique et politique. L’opposition est muselée, porteuse de cette infamie sociale, faussement sanitaire, qu’est ce masque hospitalier. Les leaders sont eux-mêmes résignés face à un discours culpabilisateur, jouant entre paternalisme, infantilisation, répressions et récompenses.

L’ensemble de la citoyenneté est réduit au bougonnement, la culture est cantonnée, brimée, les initiatives commerciales sont délimitées, les commerces de convivialité interdits, les entreprises sont empêchées, des créations artistiques sont utilisées pour de la propagande, les salariés sont obligés d’utiliser les outils numériques, notre humanité est obligée d’accepter un sort sous emprise des technologies de pistage et de surveillance.

Plus que jamais, la recherche scientifique et les institutions garantissant l’éthique des professions médicales sont les jouets des activistes de la spéculation financière. La médecine, la pharmacie, la sociologie, les statistiques sont dévoyées.

Depuis le début de cette affaire, je veux bien croire qu’une panique s’est emparée d’un certain nombre de personnes exposées au virus COVID19. Ces personnes sont à l’origine d’une pandémie. Mais plutôt que de reconnaître leur responsabilité, elles ont mis à l’index la population qui ne se serait pas suffisamment disciplinée.  Pour être clair, ces personnes sont des acteurs de la recherche pharmaceutique, des financiers et des relations politiciennes, avec des militaires en charge de leur protection qui ont transmis ce virus. Toutes les études l’ont démontré. Ce sont les spécialistes de la recherche qui ont contaminé les personnes fragiles qu’ils ont comme clientèles. Ils n’assument pas cette responsabilité et continuent de sévir, notamment en préconisant des mesures qui les concernent en toute exclusivité. La population n’a été exposée qu’en raison des interactions avec les personnes des environnements responsables.

Toutefois, la réalité n’est au final grave que pour peu de personnes, mais l’aubaine est trop forte. Nous avons connu cela avec H1N1 et aussi avec l’affaire des éthylotests. Pour faire simple, la corruption et l’avidité sont aux commandes de nos démocraties. Mon propos n’est donc pas nouveau.

Cependant, c’est mon dernier message sur ce sujet. Je n’y reviendrais plus. Je renverrais chacun à cet enregistrement que j’aurais pu faire dès avril-mai 2020, dans la suite de ma réponse à la lettre d’Emmanuel Macron de janvier 2019

J’ai donc pris la décision de ne plus commenter les messages relatifs à la prétendue crise sanitaire. Tout est dit. J’ai tout dit : commenter à nouveau n’est que répéter, ressasser et il convient seulement d’agir pour mobiliser les intelligences afin de mettre sur pied une organisation sociale et politique solide pour vivre et transmettre les meilleures conditions d’exercice de la liberté.

J’ai donc dit ma position une dernière fois.

Cette position implique trois aspects :

  1. Poursuivre le développement de mes travaux sur la profession de médiateur que j’ai initié en 1999, avec ses instrumentations en ingénierie relationnelle, pour la résolution des conflits par les techniques de qualité relationnelle ;
  2. Compte tenu du constat de la bonne santé de l’économie et des finances, je soutiendrai un programme politique où l’instruction sera prioritaire, avec la pratique des techniques de réflexion, l’incitation aux innovations, la transparence de la vie politique et financière, l’éthique des technologies de communication, la qualité de la production agricole, la réparation des dégradations environnementales, le développement des dispositifs de solidarité et de santé ;
  3. Enfin, promouvoir l’évolution du paradigme du Contrat Social devenu obsolète vers le nouveau paradigme de l’Entente qui fonde toute relation et de l’Entente Sociale qui peut renforcer les fondations de nos organisations démocratiques.

Je vous remercie tous de penser et d’agir pour contribuer à un projet de société qui donne à la vie sa légèreté. Merci d’apporter une contribution la plus engageante aux curiosités, la plus ouverte aux étonnements et aux découvertes. De passage dans le monde incroyable de l’existence et de l’usage de la raison, de la fugitivité de la conscience, vous avez la possibilité de donner un sens à votre existence sans priver les autres de cette même opportunité.

Je cesse donc de reconnaître l’utilité de ce débat stérile provoqué par le gouvernement pour me consacrer au seul projet qui vaille : façonner le référentiel de la qualité des relations au monde, de l’exercice de la liberté sur les voies de l’entente sociale.

Je vous donne donc rendez-vous pour une mobilisation des intelligences au service du bien commun.

Merci et n’hésitez pas à partager. Cette action ne fait que commencer.