Vous pouvez vous dire que si vous n’êtes pas concernée par une situation, vous pouvez vous retrouver impliquée.

Bon, maintenant que vous connaissez la théorie de l’omelette aux lardons et ma lecture différente de celle qui se fait habituellement, vous avez en tête ce que c’est que d’être impliquée et d’être concernée. Et ça joue sur quelques subtilités qui se concrétisent de manière très précise.

De plus, vous savez ce qu’est une crise. Vous en avez sans doute déjà connu. Et, à tout prendre, vous pourriez constater qu’il est préférable d’être gestionnaire d’une crise sans être trop impliquée. Mais en ayant une posture de personne concernée, plutôt que l’inverse.

Je vous ai concocté une vidéo pour que vous puissiez vous approprier le vocabulaire de la crise. L’objectif est que vous puissiez faire comprendre aux autres les relations causes-effets dans les jeux et enjeux de toutes les crises.

Allez, d’un coup d’un seul, toutes les crises. C’est un package pédagogique. Vous allez pouvoir faire jouer le pont du corps calleux pour faire circuler les informations entre les deux hémisphères cérébraux. Ce n’est pas toujours gagné. A l’époque des autoroutes de l’information, ça bouchonne encore sur les pistes neuronales.

Parfois, comme ça coince chez nos interlocuteurs, alors, il faut faire du spécial. Ma recette est en 9 minutes. Vous y trouvez votre latin, du grec, et les jeux de la mondialisation.

Vous allez constater qu’il existe quelques pratiques habiles à utiliser le mot crise et à entretenir le climat plus que d’être confronté à une réalité.

C’est à vous… Enfin, d’abord à moi, et puis ensuite à vous de vous approprier cela.