L’indifférence est une posture que nous découvrons lorsque nous en subissons les conséquences. Elle est identifiable lorsqu’une personne a pris une décision dont la mise en œuvre ne nous convient pas, et que nos protestations ne sont pas même prises en considération.
Ainsi, l’indifférence est liée à la décision. Les conséquences sont ainsi multiples.
L’indifférence est ancrée sur les convictions qui fondent toutes les légitimités. Décidée, elle serait un choix, mais elle est dressée sur les croyances qui élèvent tous les intégrismes. Elle est animée par les certitudes qui entraînent les engagements les plus déterminés.
Il n’est que d’indifférence émotionnelle, pas d’indifférence rationnelle. Et c’est pourtant avec cette indifférence qu’aujourd’hui encore nos Etats sont gérés.
Je prépare un ouvrage qui est une invitation à renouveler l’usage de la Raison, c’est-à-dire de la rationalité.
Vous pourrez découvrir que l’usage de raisonnements, pas plus que la quête du raisonnable, ne fait la rationalité. La complaisance dont bénéficie le courant « émotionnaliste » est aujourd’hui une entrave à l’évolution de l’usage de la raison, c’est pourquoi notre culture est embourbée, parce que globalement, la pensée Pascalienne s’est imposée au dépend de l’usage de la Raison préconisée par René Descartes.
Je vous invite à renouveler votre pensée, non au regard de ce qu’on vous dit de penser, non au regard de ces pseudo-scientifiques qui occupent les devant de la scène littéraire, mais de l’usage méthodologique de la raison. Et vous constaterez que vous gagnerez en qualité de vie et en liberté, en transmettant aussi aux autres ce sens de la vie.